CAS CLINIQUE 1
Un homme de 48 ans avait peine à marcher même de courtes distances. Ses symptômes : douleurs intenses lombaires. Il pouvait difficilement accomplir les tâches d’entretien à la maison. Trois ans auparavant, il avait entrepris de faire une marche sur le bord de mer, mais avait dû s’arrêter après 1,5 km à cause de ses douleurs aux dos. Il tenait absolument à faire une deuxième tentative.
Très déterminé, et faisant preuve d’une rigueur peu commune face au protocole de soins, il réussit, après une période de soins de méthode Cox®, à couvrir 24 km par jour sur deux jours consécutifs lors de ses vacances. Plus récemment, lors d’autres vacances, il a réussi à terminer un parcours de 34 km de marche à pied.
Ce patient âgé de 48 ans souffre d’une sténose spinale à deux niveaux: L3-L4 (image 1) et L4-L5 (image 3). La dimension du sac dural est représentée à l’image 1 (coupe sagittale) et à l’image 2. On peut noter une diminution de la surface du sac dural de l’ordre de 70% au segment L3-L4 (image 2) et de 75% au segment L4-L5 (image 4), en comparaison avec l’image 6. À l’image 4 (légende b), on aperçoit de l’arthrose facettaire sévère.
CAS CLINIQUE 2
Ce patient de 58 ans, ayant un passé sportif très actif et une forme physique exceptionnelle, souffrait de douleurs accaparantes dans les lombaires et à l’arrière des jambes. Dès le premier traitement, le patient éprouve une amélioration. Durant les 25 premiers jours, à l’exception d’un seul traitement, le patient ressent chaque fois une amélioration. Après 10 jours (c.-à-d. au cinquième traitement), il ne ressent plus qu’une légère douleur aux jambes. Vingt jours plus tard, il se baigne, sans effets secondaires, aux glissades d’eau avec son fils. Après 27 jours, les améliorations stagnent (ceci est un phénomène normal). Il est toutefois capable de travailler sur le terrain de sa maison. Et 55 jours après sa série de traitements, il n’éprouve plus aucune douleur dans les deux jambes et frappe deux chaudières entières de balles au golf.
Cet excès d’enthousiasme le fait rechuter, mais seulement pour une période de 10 jours. Les vingt jours suivants, les progrès stagnent, mais le patient persiste. Trois mois et demi après le début de ses soins, lors d’un voyage de fin de semaine à New York, il se surprend lui-même : il marche un total de 40 km. Au cours des 60 jours suivants, les améliorations sont constantes. En pratiquant la modération, il vit une existence normale. À ce jour, il demeure sans symptômes majeurs.
Remarque : L’abandon de la table d’inversion a contribué à une amélioration notable. L’utilisation d’une table d’inversion comporte des effets négatifs dans le cas de certaines pathologies lombaires.
Ces images permettent de comparer la surface du sac dural au niveau du disque intervertébral et du corps vertébral. L’image 2 montre une diminution de 75% de la surface du sac dural (0,4034 cm2) en comparaison avec l’image 4 (1,609 cm2) . Cette diminution est causée par: (a) l’hypertrophie facettaire (image 2), (b) l’hypertrophie du ligament jaune (image 3) et (c) le bombement discal (image 1) .
RÉSORPTION DU LIGAMENT JAUNE
Ce patient homme de 54 ans ressent des engourdissements au pied droit. L’IRM révèle plusieurs trouvailles qui pourraient s’associer à ce symptôme. Le Dr Sicotte aperçoit les signes d’une pré sténose spinale. Les conséquences de cette trouvaille sont bien expliquées au patient. Le patient opte pour des soins soutenus de la méthode Cox® afin de faire diminuer ou renverser l’hypertrophie ligamentaire. Une amélioration notable est visible. Les symptômes d’engourdissement sont disparus. L’échéance des images est de 9 mois. nc
CAS CLINIQUE 3
Ce patient de 74 ans fait toutes les semaines un trajet d’une heure et demie pour obtenir une solution à ses douleurs aux jambes. Très méthodique, il exécute tous les matins une routine de yoga. Une révision des mouvements démontre que plusieurs manœuvres aggravent en fait ses symptômes. Nous les modifions, et l’amélioration se manifeste rapidement.
Après 32 jours, il ne ressent plus de douleurs à l’arrière des cuisses.
Après 39 jours, la douleur au fessier a considérablement diminué et l’engourdissement des pieds a disparu.
Après 63 jours, il se permet de nettoyer la cour et d’abattre de petits arbres. Les soins ont diminué sa douleur de 50 pour cent.
Remarque : Le yoga comprend des mouvements qui sont dommageables pour certaines conditions lombaires. Toute forme d’extension diminue le calibre antéro-postérieur et la surface des foramina lombaires. Les patients qui souffrent de hernie discale ou de sténose spinale devraient s’en abstenir, et de même, le protocole McKenzie leur est également déconseillé.
Ces images permettent de comparer la surface du sac dural au niveau du disque intervertébral et du corps vertébral.
L’image 2 montre une diminution de 76% de la surface du sac dural (0,501 cm2) en comparaison avec l’image 4 (2,078 cm2) .
L’image 3 représente un spondylolisthésis de type dégénératif (spondyl=colonne vertébrale, listhe=avancement, ésis=condition). Cette pathologie est fréquente chez les femmes.
CAS CLINIQUE 4
Ce patient de 73 ans ne peut plus jouer au golf. Il consulte quatre chirurgiens qui refusent de l’opérer pour la sténose spinale. Un examen détaillé de son imagerie IRM, et l’examen du patient à notre clinique, révèlent qu’une sténose foraminale – et non une sténose spinale – est responsable de ses symptômes. Les distractions Cox® éliminent rapidement sa douleur à la jambe. Des exercices maison lui ont été prescrits.
Les résultats sont les suivants :
Après 39 jours, le brûlement de la cheville a diminué de 30 %. Il ressent un léger serrement au pied.
Après 43 jours, il ne ressent un engourdissement que lorsqu’il se penche. Il interrompt sa médication.
L’intensité de la douleur est réduite à 1/10.
Un suivi téléphonique, cinq mois plus tard, révèle que les améliorations acquises se maintiennent.
Ces images permettent de comparer la surface du sac dural au niveau du disque intervertébral et du corps vertébral.
L’image 2 montre une diminution de 51% de la surface du sac dural (0,7058 cm2) en comparaison avec l’image 4 (1,437 cm2). Le bombement discal circonférentiel (image 3 b) et l’arthrose facettaire (image 3 a) sont responsables de la diminution de la surface du sac dural.
CAS CLINIQUE 5
Analyse des composantes responsables de la sténose spinale de cette patiente de 72 ans.
Image 1 Une hypertrophie facettaire. Un phénomène présent chez les patients ayant une sténose spinale.
Image 2 Les disques lombaires L4-L5 et L5-S1 sont sévèrement dégénérés, au point d’être inexistants.
Image 3 Les racines nerveuses ondulent. Ce phénomène ne se retrouve que chez les sténoses spinales. Ceci est
causé par les variations de dimension du sac dural.
Image 4 Un fragment de disque se détache et migre à l’arrière du corps vertébral.
Image 5 Le ligament jaune hypertrophie; les facettes démontrent de l’instabilité. Ceci contribue grandement à la sténose du sac dural.
CAS CLINIQUE 6
Cet homme de 64 ans a fait une chute violente sur le fessier à l’âge de 20 ans. Il a vécu toute sa vie avec des maux de dos lombaires. Dans sa jeunesse, un emploi l’obligeant manipuler de lourdes charges aggrave la situation. Ceci ne l’a pas empêché de rester physiquement très actif, et il adore conduire sa décapotable. Au moment de la consultation, les douleurs lombaires sont insupportables, ce qui l’empêche de conduire. Sa sténose spinale est unique, car le calibre du sac dural est substantiellement diminué par la présence d’une retrolisthèse à la vertèbre L5 (voir l’image 1).
Les résultats des traitements Cox® :
Après 14 jours : Il ressent 50 % moins de douleur en conduisant.
Après 21 jours : Aucune douleur dans les jambes. Il peut se vêtir sans difficulté.
Après 26 jours : Il exécute son programme de musculation établi à la clinique. Ce programme contient des recommandations qui sont spécifiques aux sténoses spinales. Il conduit sa voiture sans douleur au dos ni aux jambes. Il ne pense plus à ses douleurs lombaires. Le matin, il peut se vêtir sans douleur.
Après 33 jours : Il réaménage son logement et déplace des meubles. Il accomplit un voyage de 14 heures en voiture sans douleur.
Après 45 jours : Nous réduisons la fréquence de ses soins conséquemment à ces améliorations substantielles.
Image 1 La dimension antéro-postérieure de la coupe sagittale du sac dural, au disque intervertébral L4-L5, est de 5.65 mm; normalement, elle se doit d’être entre 14 et 17 mm. La particularité de cette sténose spinale est la rétrolisthèse (flèche bleue) de la vertèbre L5 par rapport à S1. Celle-ci contribue à une compression de 4.65 mm (image 1, flèche à deux têtes). Le disque intervertébral de L5-S1 est inexistant, et se classe en catégorie Pfirrmann 5/5.
Images 1-2-3 La compression du sac identifié sur l’image 1 et 2, reliée par la flèche en pointillé (a) démontre que le contenu du sac dural est engorgé.
En comparaison, le même contenu, à une distance de 19 mm, identifié entre l’image 1 et 3 reliées par la flèche pointillée (b) est nettement plus dégagé.
Image 3 Le contenu du sac dural (liquide céphalorachidien et nerf spinal de la queue de cheval ) est normal à l’image 3.
CAS CLINIQUE 7
A
Analyse des composantes responsables de la sténose spinale de cette patiente de 72 ans.
Image 1 La dimension du sac dural, au segment supérieur de la sténose spinale, est de 1,172 cm2
Image 2 Le ligament jaune (lj) compresse le sac dural; ceci déplace les nerfs vers la partie antérieure du canal spinal.
Image 3 L'hypertrophie du ligament jaune est a son maximum : 0,5932 cm2
Image 4 Ce phénomène est toujours présent à l’image 4, qui se situe 4.4 mm plus bas.
Image 5 À ce niveau, la compression n’existe plus et le sac dural reprend sa dimension normale.
CAS CLINIQUE 8
Cette patiente nous est envoyée par un autre clinicien. Cette dame de 82 ans souffre de douleurs au dos depuis son jeune âge. Aucun chirurgien ne se risquerait à décompresser son canal rachidien, et les autres options thérapeutiques ne fonctionnent pas. Lorsqu’elle nous consulte, elle éprouve des difficultés à accomplir les tâches journalières. Le but du traitement était de la garder autonome et mobile; les résultats positifs tiennent bon depuis maintenant quatre années. Cette dame, qui vient accompagnée de son conjoint, est fidèle à son rendez-vous hebdomadaire depuis quatre ans.
Les images 1, 2, 3, et 4 sont prises à 4,4 mm d’intervalle. La patiente est atteinte de scoliose.
Image 2 : Notez la discopathie dégénérative sévère des disques intervertébraux (*). Ils se situent sur l’échelle Pfirrmann à 5/5.
Image 3 : Notez le signe ondulatoire en serpentin des nerfs spinaux à l’intérieur du sac dural. Un signe qui démontre une irrégularité du diamètre du canal spinal. Ce signe se présente dans les cas de sténose spinale avancée.
Image 4 : On retrouve une compression sévère aux segments L3-L4. Sur l’image 5, on peut identifier la surface du sac dural, qui est de 0,2852 cm2. Ceci représente une diminution de 85%! Les images 1, 2, 3 et 4 de gauche correspondent aux lignes bleues de l’image 5.
TRAITEMENT
EXPLICATION DU TRAITEMENT POUR STÉNOSE SPINALE
L'alternative de choix : les distractions. Avant même de considérer une procédure invasive, consultez un spécialiste de la méthode Cox® (1973) en flexion distraction afin de décompresser le disque en cause. Une méthode de plus de 40 ans qui a fait ses preuves.
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